DAME NZOUMBA DECLARE : EMILE EST DIEU, IL EST NOIR ET C'EST LUI QUI DETIENT LES CLES DU PARADIS

GUY EMILE LOUFOUA CETIKOUABO LE DIEU NOIR ET DÉTENTEUR DES CLÉS
DU CIEL RAMÈNE L’ENFANT DE DAME NZOUMBA À LA VIE

Introduction

Mme NZOUMBA PANDI Marie, une septuagénaire originaire du Congo Brazzaville, est une diaconesse de l’Eglise Evangélique du Congo à Pointe Noire. À un moment donné de sa vie, elle va faire la connaissance spirituelle de Loufoua Cétikouabo Guy Emile et va brièvement évoluer dans son association "Louzolo Amour". Tout ceci se passe il y a environ vingt ans lorsque les réunions spirituelles de l’Association Louzolo Amour se tenaient à la Rue Itoumbi N° 136 à Ouenzé, Brazzaville.

Elle s’est présentée lors de La Fête de rémission de nos péchés pour une nouvelle et longue vie sur terre, au moment où on accordait la parole aux non adhérents de l’Association, pour dire qu’elle était porteuse d’un message de Papa Guy Emile
LOUFOUA CETIKOUABO, le Grand Maître de l’OPH, qui lui a demandé de venir jusqu’à Kari kari pour le livrer aux trente-cinq mille pèlerins qui ont pris part à ces festivités. Un jour avant son témoignage, nous avions auditionné une cassette de Papa Emile et Mme Nzoumba dit reconnaitre cette voix qui lui avait parlé et lui avait ordonné de faire le voyage au Mont kari kari. Visiblement soucieuse de nous convaincre que c’est bel et bien Papa Emile qui lui parlait, elle a regretté l’impossibilité d’enregistrer la voix qui lui donnait des instructions afin que nous comparions avec celle de la cassette pour tout authentifier. Qu’à cela ne tienne, elle a confirmé à l’auditoire que c’est le Grand Maître de l’OPH, Papa Loufoua Cétikouabo Guy Emile (Le Jésus noir, tel qu’elle l’a identifié) qui l’a envoyée au Mont Kari kari pour livrer un message aux enfants d’Emile et aux peuples du monde entier. C’est le mobile qui justifie l’intitulé de ce contenu.

Cette vieille femme témoignant avec force en langue Bémbé a étonné plus d’un pèlerin par la force de ses propos, par la grandeur de son message et finalement par le fait que les termes ainsi que les thèmes évoqués par elle corroborent avec les vérités divines de l’heure annoncées actuellement par Le Grand Maître de l’OPH, Papa Loufoua Cétikouabo Guy Emile. Ce qui est encore étonnant c’est que lorsque nous nous sommes rapprochés d’elle pour avoir de plus amples informations, nous nous sommes retrouvés devant une très vieille femme qui ne pouvait marcher que si elle était soutenue par deux personnes valides et, à première vue, incapable de faire sortir un seul mot de sa bouche.

Dans son propos devant le peuple de Dieu réuni en célébration de la rémission des péchés, Mme Nzoumba a d’abord fait le témoignage des circonstances qui l’ont fait connaître Papa Emile et qui l’ont conduite à la Rue Itoumbi à un moment où l’on ne parlait nullement des Vérités Divines de l’Heure. Ne se rappelant plus de la date exacte de cet évènement, elle a dit que cela est arrivé lorsque sa dernière fille avait deux ans et c’est à cause de la maladie de son fils aîné Ngoma Hubert Harris qu’elle a été miraculeusement conduite à l’ancienne permanence de l’association à la Rue Itoumbi. Ensuite, elle a livré au peuple de Dieu le message pour lequel le Grand Maître l’avait envoyée à Kari kari lors de ces festivités du 26 au 29 juillet 2007.




La révélation de Maman Nzoumba Pandi Marie
(Mont kari kari le 29 juillet 2007)

1- Son fils Hubert est ramené à la vie

« Bonjour, bonjour et bonjour encore. Je vous remercie infiniment, vous, peuples de
Dieu, pas par la chair et le sang mais par l’Esprit. Je fais bien allusion aux hommes de toutes les races car nous constituons tous, le peuple de Dieu. Je ne peux pas vous dire l’année où j’ai fait la connaissance de mon fils Loufoua Cétikouabo Guy Emile car je ne connais pas lire. La seule chose que je sais c’est qu’à cette époque, ma dernière fille avait deux ans et c’est à cause de la maladie de mon fils aîné que cela était arrivé.

« Mon fils aîné n’aimait jamais entendre parler de la prière et cela me faisait de la peine. Un jour, l’Esprit de Dieu me dit :
"Ne t’en fais pas pour cet enfant, Je saurai Moi-même ce qu’il faudra faire pour lui. Tu l’as déjà éduqué sur les choses de la terre et Je sais que Je ne t’ai pas donné l’occasion de faire des études afin de l’initier dans la connaissance de la bible; laisses Moi donc m’occuper de son éducation spirituelle. N’oublies pas que la mort est le passage obligé de tout homme."

« Dieu m’avait fait grâce du don d’évangélisation et depuis ma tendre enfance, c’est ce que je fais : parler de Dieu aux hommes. Très souvent, je parlais de Dieu à mes amies qui venaient me rendre visite et quand mon fils aîné revenait de l’école, nous trouvant en pleine conversation religieuse, il refusait même de manger lorsque je lui présentais son plat de midi. Après avoir balancé ses effets scolaires dans la chambre, il repartait jouer avec ses amis et il me disait toujours : "Finissez d’abord avec vos bêtises de Dieu là et je viendrai manger après." Quelques années après, il est tombé malade. Comment cela est-il arrivé ?

« Mon fils aîné souhaitait faire carrière dans le métier des armes mais moi, j’étais contre ces ambitions et Dieu m’avait fait savoir que Lui également n’était pas d’accord que mon fils devienne militaire. Si je ne voulais pas que mon fils fasse carrière dans les armes, c’est parce que j’en savais quelque chose puisque mon défunt mari était gendarme : Une fois recruté pour la formation militaire, on vous injectait le TAB et du coup vous devenez incontrôlable. Je ne voulais pas que mon fils soit ainsi mais, il y tenait tellement qu’il avait fini par s’engager dans l’armée de l’air.

«Après l’inscription, ils ont été emmenés au camp d’instruction, on l’a rasé et juste après cela, il est tombé sérieusement malade, il était devenu très pâle, tout son corps ressemblait à un miroir et l’on pouvait même se mirer à partir de sa peau. Il avait fait six mois d’hospitalisation à l’hôpital militaire de Garnison et on ne lui avait prescrit aucun traitement parce que les médecins n’avaient diagnostiqué aucune pathologie. Après les six mois passés sans suite, il a été évacué à l’Hôpital Général de Brazzaville. La situation ne faisait que s’empirer car à ce niveau également, on ne trouvait aucun mal en lui et nul traitement ne lui était prescrit.

« Un jour, pendant que nous étions toujours à l’hôpital, à 7h00, mon fils avait senti qu’il allait mourir mais, il ne voulait pas que cela arrive devant moi. Il me persuada d’aller à la maison car il y avait longtemps que j’y avais fait le ménage. Il avait peur que les toiles d’araignée envahissent la maison. Nous habitions à l’époque à Ouénzé et mon mari était en service au nord du pays. Pendant que je m’apprêtais à partir, il me dit : «Laisse-moi de quoi payer le taxi. Si jusqu’à treize heures, tu ne me vois pas à la maison, c’est que les médecins ont décidé de me garder ici puisque je suis devenu le chef des malades. (Il voulait en fait dire : c’est que je suis mort). Si tu ne me vois pas à 13H, tu devras donc revenir ici à l’hôpital."

Nous étions hospitalisés au troisième étage et dès que je m’étais retournée pour descendre afin d’aller nettoyer la maison, j’ai été visitée par l’Esprit de Dieu qui me dit : «Ne t’inquiètes pas au sujet de ton fils, J’ai beaucoup pitié de toi et Je sais ce que je vais faire. Ton fils va mourir, en fait Je vais juste l’endormir afin d’enlever toutes les mauvaises choses que les gens mauvais avaient injectées dans son corps car s’il souffre et si on n’arrive pas à déceler sa maladie, c’est à cause du poison que le malin avait injecté en lui. Il faudrait donc que Je lui change tout et après, Je lui rendrai la vie."

« J’étais donc partie, passant par le marché de Moungali où je devais acheter des vivres. Après avoir tout fait, à 13h, j’avais invité mon amie qui se prénommait aussi Marie afin qu’elle vienne partager le repas de midi avec moi. Il y avait longtemps que nous ne nous étions plus vues à cause de la maladie de l’enfant. J’avais juste commencé à manger et j’ai vu ma fourchette s’arracher de force de ma main droite et tomber à même le sol. Je commençais à trembler de peur et tout à coup je suais des cheveux aux orteils. J’étais prise de stupeur et j’ai fait observer à ma copine Marie ce qui m’arrivait. Elle était également étonnée et elle profita de l’occasion pour me demander les nouvelles de l’hôpital. Je lui dis que rien n’avait changé et que jusquelà on ne savait pas de quoi l’enfant souffrait, il n’y avait toujours pas de traitement.

« Il faisait déjà plus de treize heures et comme il me l’avait dit, j’étais obligée de repartir à l’hôpital. Arrivée là-bas, les médecins m’informèrent que mon fils avait rendu l’âme depuis 13h. J’ai lancé un cri fort et je me suis évanouie au sol. C’est à cet instant que Jésus est venu me révéler tout le plan. Il me dit ensuite que l’enfant devait rester mort pendant deux jours et le troisième jour Il lui rendrait la vie. Et tel qu’il s’était révélé à moi, Jésus était noir. Jésus, Celui qui est noir, m’avait donc dit qu’il allait rendre la vie à mon fils le troisième jour à minuit et ce jour-là, à l’heure indiquée de minuit, je Le vis, noir tel qu’il s’était révélé à moi, rentrer dans notre salle. Cette fois-ci, il était habillé en blouse de médecin, un médecin que je n’avais jamais vu toute l’année que j’avais passée là-bas à l’hôpital. C’était ma première fois de voir ce médecin. Dès qu’Il s’était approché de la dépouille de mon fils, il prit un instrument avec lequel Il commença à lui masser la plante de pied jusqu’au gros orteil. A la fin du massage, Jésus me dit : "ça va !" Mon fils avait retrouvé la vie. Il s’était retourné pour repartir et dès qu’Il était arrivé au niveau de la porte, j’ai été éblouie par la lumière qui dégageait de Lui, Il brillait tellement de lumière que je n’avais fait que constater sa disparition après.

« Trois jours après la visite de Jésus Le Médecin noir, les autres médecins sont venus faire des examens et cette fois-ci, ils ont découvert un problème cardiaque et le diabète. Lorsqu’ils me l’ont annoncé, je me suis refroidie et j’ai prié Dieu en ces termes : Ah Seigneur, de telles maladies conviennent aux gens qui ont beaucoup d’argent, je ne suis qu’une pauvre femme, comment vais-je m’en sortir ? En réponse à ma préoccupation, le jour où on sortait de l’hôpital, l’Esprit de Dieu me dit :
"Avant d’aller chez toi, prends un taxi et dis au taximan de te conduire avec l’enfant à la rue Itoumbi là où les membres de l’Association Louzolo se retrouvent. Ce sont Mes enfants, ils vont s’occuper de vous."

« Voici donc les circonstances qui m’ont fait connaître l’Association Louzolo Amour. Mon Fils aîné s’appelle NGOMA Hubert Harris, il est bien connu dans le milieu
Louzolifié à Brazzaville, au nord du pays et même à Pointe Noire. »

2- « le message du Grand Maître de l’OPH »

« Si je me retrouve aujourd’hui ici (au Mont Kari kari à ces festivités du 26 au 29 Juillet 2007 marquant la Célébration de la Rémission des péchés pour une nouvelle et longue vie sur terre) c’est pour livrer un message de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO à son peuple. Assise donc chez moi, j’entendis une voix qui me disait :
"Je vais te donner un message que tu dois aller transmettre auprès de mes enfants à Kibossi, à la Belle Cité du Mont Kari kari. Que celui qui a des oreilles entende et que celui qui a le cœur garde et mette en pratique ce que je vais dire."

« Je ne savais pas de quoi il s’agissait, encore moins du message. Sans hésitation, je me suis dirigée vers la gare ferroviaire et c’est le jour même où les Louzolifiés voyageaient pour Kibossi. Quand j’y arrive, on m’informe que le voyage était reporté au lendemain. Je ne savais plus que faire. Tout de suite, une sœur Louzolifiée que je ne connaissais pas, sur inspiration de l’Esprit de Dieu, m’invita à passer la nuit chez elle en attendant le voyage du lendemain.

« Arrivée chez cette sœur, une fois seule dans la chambre, j’entendis la voix qui commençait à me parler. Je vous dis que c’est la même voix de la cassette que nous avons auditionnée ici hier qui me parlait. (La voix du Grand Maître de l’OPH). Si j’avais la possibilité d’enregistrer la voix qui m’avait parlé, je vous aurais apporté la cassette et vous auriez comparé les deux voix. Vous vous rendriez compte qu’il s’agirait bel et bien de la même voix, celle de Loufoua Cétikouabo Guy Emile.

« Voici donc le message que la voix m’a donné de vous transmettre :
"L’heure est arrivée. Vas maintenant auprès de mes enfants leur livrer mon message. Tu te présenteras à eux et tu leur diras de te payer le billet pour Kibossi. Une fois à Kibossi au Mont Kari kari, tu leur diras ceci : J’ai déjà beaucoup souffert pour vous dans les temps passés, j’ai beaucoup souffert. Dieu m’avait d’abord envoyé au Mont Sinaï pour vous remettre les dix commandements mais, vous ne m’aviez pas écouté. Je suis revenu sur terre sous une autre forme, vous ne m’aviez toujours pas écouté jusqu’à ce que vous m’aviez conduit au calvaire, et vous persistez à vouloir me faire du mal.

"Vas leur dire : Si en ma qualité d’Avocat du monde entier, je n’avais pas plaidé pour vous tout récemment, Dieu mon Père devait détruire l’humanité tout entière, comme Il l’avait fait à l’époque de Noé et à l’époque de Lot, par le feu.

"Par rapport à tout ceci, J’ai décidé de remettre à tout un chacun, à tout Homme de la terre, la clé de sa demeure céleste. En fait, suite à vos mauvais comportements, Dieu m’avait demandé la résolution qu’il fallait prendre pour vous. Je Lui avais demandé de me donner toutes les clés des demeures célestes afin que je remette à chaque Homme de la terre sa clé. Celui qui saura garder sa clé aura accès à sa maison céleste mais celui qui va perdre sa clé à cause de sa négligence n’aura pas de place car Les Cieux lui seront fermés; Je suis la porte des Cieux.

"Vous devez tous le savoir, Blancs et Noirs, que Je suis la Porte du Ciel. Chaque clé est attachée à un porte-clés qui est comparable à un œuf. Si tu fais tomber ton œuf sur du sable ou du béton, il se fracasse et on le perd pour de bon."

« C’est donc là le message que j’avais à vous livrer de la part de mon fils Loufoua Cétikouabo Guy Emile. Ce sont là des choses que j’ai vécues, pas dans la chair mais en esprit. »