LA DEESSE DES MERS TEMOIGNE LA DIVINITE DE GUY EMILE LOUFOUA CETIKOUABO
TANIA NGONDI LA DÉESSE DES MERS ET MAITRESSE ATTITRÉE DE LUCIFER
DÉCLARE QUE GUY EMILE LOUFOUA CETIKOUABO EST DIEU
Introduction
« Tania », ce prénom s’effilochait déjà de la bouche de plusieurs pèlerins présents à Mvouti lors de la Fête programmée officiée par la Sr Philomène BIYEDI, et nous sommes en 2011. A l’heure des témoignages ce jour-là, nous sentîmes comme une bousculade au niveau du présidium, les premiers responsables de l’association étaient comme dérangés et dans une vraie panique lorsque le modérateur remit le micro à une adolescente, 14 ou 15 ans révolus, au teint très clair et aux apparences innocentes. Dès qu’elle amorça le récit de son témoignage, il eut un remue-ménage au sein des responsables, des terribles agitations dont, nous autres, étant venus de l’étranger, ne pouvions en comprendre la signification.
Finalement, avec toute la fausse diplomatie, on lui arracha le micro, lui promettant de revenir afin de rendre son témoignage avant la fin de la cérémonie. À cet instant, il eut une légère bousculade de la foule qui attendait ce témoignage de pieds fermes car, la majorité des pèlerins en savaient déjà quelque chose et, on put lire une déception sur le visage de tout ce monde lorsque Tania remit le micro pour ne plus rendre son témoignage. « Ils n’ont pas voulu qu’elle parle, ils ont eu peur d’être dévoilés,» comme une traînée de poudre, c’est ce qui sortait de toutes les lèvres. Comme si la raison était du côté de la foule, la promesse faite à Tania de revenir avant la fin de la cérémonie n’était en fait que des vains mots. Elle n’eut donc pas l’occasion de rendre son témoignage devant le peuple de Dieu et ce, même lors de la Fête de Rémission des péchés en fin juillet 2012.
En effet, nous nous sommes retrouvés à cette occasion à Kibossi et Tania avait choisi faire route avec la délégation venue du Gabon depuis leur arrivée à Dolisie. Une fois à Kibossi, c’est dans la maison des pèlerins du Gabon qu’elle avait fait ses quartiers. C’est alors que je pus être mis au parfum de ce qui faisait trembler les responsables en tête de l’Association Louzolo Amour qui étaient en fait des couteaux à double tranchant ayant pour mission le déroulement d’un agenda sataniste en plein cercle Cétikouabien. Des choses graves ! Dès qu’ils surent que Tania était venue à Kibossi, toujours dans l’espoir de rendre son témoignage, ces responsables satanistes décrétèrent une Fête de Rémission des péchés sans prédications ni témoignages. C’est ce qui fut fait, chose incroyable !
Comme pour insister dans les intimidations et leur volonté farouche de ne pas la laisser rendre son témoignage, pendant que nous tournions la vidéo, elle nous demanda de fixer le plafond : il y avait une araignée. Elle dit ensuite : « Ils ont envoyé cette araignée qui est en fait un espion. Elle entend, enregistre et transmet aussitôt tout ce que nous disons ici. Tuez-là ! Ce qui fut fait et elle ajouta : « Je vous le dis, en vérité, comme vous venez de la tuer, la personne qui l’a envoyée vient de tomber malade, à l’instant même. »
De retour à Dolisie après le pèlerinage de Kibossi, nous nous retrouvâmes avec Tania qui devait impérativement rendre son témoignage. Je plantai ma caméra chez les Bedikombo au quartier Gaïa. Devant l’objectif, la Sr Tania. La prise de vue se passe en présence de Papa et Maman Bedikombo ainsi que la Sr Béa (Maman Tati Léon). Tania NGONDI La Déesse des Mers, La Maitresse attitrée de Lucifer témoigne ici la Divinité de Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO. On imaginerait à peine que des choses aussi sensibles et immenses sortiraient du petit corps au teint très clair que j’avais aperçu à Mvouti.
La nature de Tania Ngondi
Je suis la Sr Ngondi Ceti Tania, Membre de l’OPH évoluant à la sous-section Mont
Carmel 1 de Dolisie. Ma mère s’appelle ATSABA Éliane. Elle est Obamba du Gabon. Mon Père s’appelle Ngondi Bernard, il est Kougni de Mossendjo au Congo. Mon père est époux de deux femmes et avec ma mère, ils ont eu sept gosses dont je suis le deuxième rejeton. J’ai 15 ans. La rivale de ma mère a cinq gosses dont un seul garçon. Et ma mère a fait quatre garçons et trois filles.
Je vous informe donc que je suis à ma quatrième réincarnation, entendez par là, ma quatrième venue dans ce monde. Au cours de mes premières incarnations, j’étais avec Lucifer et je travaillais déjà comme un agent maléfique. Mon rôle consistait à détruire les hommes de la terre. Lors de ma première venue sur terre, Lucifer m’avait confié une mission délicate. Elle consistait à détourner les principes Divins établis pour le fonctionnement du Jardin d’Eden et ses premiers habitants humains qu’étaient Adam et Ève. Il était donc question que j’arrive à convaincre et persuader ces derniers afin qu’ils consomment le fruit qui leur était interdit. Ce seul acte suffirait pour créer le dysfonctionnement général. A cette époque, Je vivais en tant que poisson dans l’eau. Et quand l’heure de cette mission était arrivée, Lucifer m’avait transformée en serpent. Pour ce faire, Lucifer m’avait juste intimé un ordre et je m’étais exécutée. Quand j’avais été envoyée pour tenter Adam et Ève, la mission consistait donc à gagner la confiance des humains pour les détourner ensuite de Dieu. Et comme j’avais réussi à détourner Adam et Ève du contrôle divin, Lucifer m’avait donné beaucoup de puissance et il m’avait nommée « Tchikambissi » mais, les gens ne me connaissaient pas encore en tant que telle. Ce titre requiert un profond respect de la part des peuples Vilis qui n’osent pas le prononcer n’importe comment. Demandez à un vili sa signification, il vous dira d’aller voir la personne qui vous en a parlé. Nous étions devenus très amis avec Lucifer. Lors de cette première vie sur terre, j’avais fait beaucoup de mal aux Hommes.
Quand j’arrive pour la deuxième fois sur terre, je suis une lionne. Comme dans la première vie, j’étais toujours un agent au service du mal, le mal sous toutes ses formes. Il fallait, lors de cette deuxième mission sur terre, gagner la confiance des humains mais cette fois ci, en les attirant afin de les détruire mais, on n’avait pas totalement réussi. Au cours de ma troisième vie, j’étais un éléphant et j’étais toujours vouée au service du mal. Lors de cette troisième mission, Lucifer m’avait envoyée avec quelques petits démons et notre objectif était : la destruction des trois mondes sous terre. Pour cette mission, il m’avait remis un œuf. Cet œuf ressemblait au globe terrestre, un globe terrestre dirigé par Lucifer. Arrivés là-bas, on avait failli à la mission parce que Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO nous avait violemment chassés. Son simple souffle avait suffi pour nous expulser des trois mondes. On avait souffert. C’était des moments très difficiles. Enfin, me voici à ma quatrième réincarnation, cette fois-ci avec un corps d’humain. Au cours de mes trois premières incarnations, je ne vivais pas avec les Hommes, je n’avais pas de famille humaine. Je vivais seule de mon côté avec Lucifer. C’est seulement en cette quatrième vie, la vie actuelle que je partage avec vous, que je porte un corps d’humain. Je puis vous confesser que malgré tous ces efforts consentis par Lucifer et ses lieutenants, on n’avait toujours pas réussi à avoir la confiance totale des humains.
Je tiens à préciser que lorsque je vins pour la troisième fois dans le corps d’un éléphant, j’opérais dans les forêts du Japon. Chaque fois, je secouais ce pays et tout cela se traduisait par des tremblements de terre. Vous comprendriez donc que les séismes que ce pays connait jusqu’ici sont mon œuvre. Il sera encore, malheureusement, le théâtre de ces catastrophes pour longtemps si rien n’est fait à brève échéance, à cause de mes pouvoirs maléfiques que j’y avais implantés. Je reste tout au moins convaincue d’une chose : Maintenant que je Le reconnais dans sa Divinité, Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO est la seule et unique Entité capable de stopper ces catastrophes et IL le fera.
Je vous ai aussi dit plus haut que dans ma deuxième venue, je vivais dans le corps d’un lion. En tant que lionne, je me manifestais dans le vent. Je faisais souffler des orages, des vents violents qui déshabillaient les femmes, ces orages tuaient des gens. Je faisais tomber des flocons de neige qui détruisaient tout. Ces flocons étaient en fait des couteaux mystiques qui tuaient.
Ma naissance sur terre et mes œuvres aux côtés de Lucifer
Je vais maintenant vous expliquer ma venue dans cette quatrième incarnation en tant qu’humain.
J’étais déjà Sirène et je vivais dans les grandes eaux. Lorsque je vivais dans l’eau en tant que Sirène, mon corps était fait à la fois de diamant et d’or. J’avais une tête de serpent et une queue de poisson. Je devais donc prendre une forme humaine. Lucifer me demanda de choisir la femme qui allait me mettre au monde afin que je vienne détruire les humains en tant qu’humain. C’est ainsi que je suis venue entrer dans les entrailles de ma mère actuelle.
Je suis venue au monde et deux heures après ma naissance, un esprit qui était de passage est venu entrer en moi pour y prendre place. C’était un esprit envoyé par Lucifer pour me faire oublier la vie que je menais avec lui dans les vies antérieures.
Bien que Bébé, j’étais déjà une grande dame. Mon corps de bébé n’était qu’une carapace qui était vide de temps en temps car j’étais souvent absente de mon corps. Je sortais de ce corps pour prendre des corps de grandes dames afin de charmer des hommes que je tuais après avoir eu des relations sexuelles avec eux. De temps à autre, je revenais dans mon corps de bébé.
Vous pourrez demander à ma mère, elle vous dira que je suis née avec des pieds de poisson. Je sais que ma mère viendra à Louzolo et ce jour-là, elle témoignera. Quand j’étais née, mes orteils étaient à la place des talons et vice versa. Voilà donc les circonstances qui ont prévalu lors de ma naissance. Je n’avais pas de cheveu sur la tête et mes mains étaient aussi renversées. Ma mère m’a toujours dit que j’avais un très vilain nombril. Quand je grandissais, je ne me mélangeais jamais avec les enfants de mon âge, ni avec les membres de ma famille. Et lorsqu’on me servait à manger, je ne mangeais pas. Je jetais la nourriture au sol tout autour de moi en parlant à mes esprits. C’est ainsi que j’ai grandi jusqu’à l’âge de cinq ans. Entre temps, à l’âge de deux ans, les parents de ma mère l’ont emmenée à Pointe Noire et elle partit avec moi. Nous y étions restées jusqu’à ce que mon père fût venu épouser ma mère. Après cela, nous étions revenues à Dolisie. Je persistais dans mes œuvres sataniques jusqu’à l’âge de sept ans.
En ce temps, je jetais des mauvais sorts sur les hommes mariés. Je les poussais à se séparer de leurs épouses pour se livrer à la débauche. Il y a même des gens que je rendais aveugles. J’abrutissais certains enfants pour qu’ils ne parviennent pas à l’école. Vous chercheriez peut-être à savoir pourquoi avais-je choisi cette dame pour qu’elle soit ma mère sur terre plutôt qu’une autre femme.
Comprenez donc que si j’avais choisi le ventre de ma mère, c’est parce qu’elle était membre d’une famille qui avait des grands liens avec Lucifer. Elle-même, elle était compliquée. Dans sa famille, elles sont toutes brunes avec des longs cheveux et elles ont un boa qui leur lèche le corps en permanence. C’était donc un terrain déjà préparé et propice à mes œuvres lucifériennes. Vous comprenez donc pourquoi dès ma naissance sur terre, j’avais déjà commencé à faire du mal. Je vous ai dit plus haut, qu’en tant que bébé, je sortais en grande dame pour m’accoupler avec des hommes. Et quand je faisais des relations sexuelles avec un homme marié, juste après, il devait se séparer de sa femme. Des hommes avec qui je sortais ne me voyaient qu’une seule fois dans cette forme. Je prenais des formes et des prénoms différents toutes les fois : Nadia, Princesse, Prince, Joséca, Jessica, etc., avec chaque fois, un nouveau visage.
À sept ans, je me suis rendu compte que mon pouvoir était sous utilisé, je ne travaillais pas mystiquement comme il se devait. Il s’avère qu’à ma naissance, ma famille m’avait encore chargé mystiquement en plus de ce que j’avais amené de chez Lucifer. Il était donc question que je commence à utiliser mes pouvoirs à plein temps mais, je ne savais pas comment m’y prendre. Il arrivait même que je ne me rappelle plus de ce que j’étais. Je partais souvent assister à des messes de l’église catholique.
A l’âge de huit ans, ma mère m’emmena chez les Ngoundza où j’exerçais comme jeune chantre. Quelques temps après, notre congrégation avait organisé un pèlerinage sur la route de Maboko, dans les montagnes que l’on aperçoit au loin de Dolisie. Tout au long de la route, il y avait des cimetières partout. De temps en temps, pendant la randonnée, le maître Ngoundza s’arrêtait et nous parlait jusqu’à ce qu’on arriva au site prévu pour le pèlerinage. Le maître Ngoundza nous informa qu’il y avait des sirènes dans la zone. Il nous instruisit de leur partager nos mets en jetant un peu de nourriture au sol pour qu’elles ne se fâchent pas. Au bas de la montagne où nous étions, il y avait une grande rivière. J’appartenais à la congrégation Ngoundza de Papa Éclat de
Lissanga à Dolisie. Et celui qui nous guidait lors du pèlerinage s’appelait Papa NGOMA. Ce sont donc ces deux Papas qui m’avaient attaché une corde rouge autour du biceps. Je ne comprenais pas la signification de cette corde. Et le soir, on devait danser dans le feu. Le moment venu, le Maitre Ngoundza a attaché un bandeau rouge autour de sa tête avec une croix blanche dessinée au niveau du front. Je vais vous montrer comment il avait enroulé le bandeau autour de sa tête. Il avait le même signe de croix et sur le bandeau et sur son front. Il portait une moustache épaisse et ses yeux étaient sortis des orbites comme un sorcier qui s’apprêtent à faire des incantations. Puis il s’est mis à gesticuler en faisant des prises avec ses mains et le grand feu était déjà allumé. Les autres initiés Ngoundza se mirent à me dire que ce feu ne faisait rien. « Tu peux entrer dedans sans que tu ne te brûle ».
Quelques temps après, attristés, les maîtres Ngoundza nous informèrent qu’on ne devait plus danser dans le feu car il y avait un esprit très fort et inconnu d’eux qui les empêchait d’opérer. C’était donc les esprits que je portais qui faisaient cela et je ne le savais pas. Aujourd’hui, je réalise que c’est mon totem qui les empêchait d’opérer. La réalité est que mes esprits dominaient toutes leurs forces à tel point qu’ils ne pouvaient rien faire dans le mysticisme mais, je ne le savais pas. Je les entendais simplement s’alarmer : « il y a une force ici qui nous empêche de travailler !»
Après cela, ils nous ont attaché des cordes rouges autour des biceps et nous étions trois filles à qui ils avaient fait cela mais, ils avaient commencé par moi. Je commençais à avoir des vertiges comme si je devais entrer en transe.
Le lendemain matin, nous sommes tous partis à l’eau. Pendant que nous nous apprêtions à entrer dans la rivière, le maître Ngoundza s’était déjà éloigné vers la chute d’eau et à ce niveau, il implanta son bâton magique dans l’eau. Il avait au préalable jeté dans l’eau des friandises et allumer des bougies pour adorer les Sirènes des environs. Puis, il s’est mis à invoquer les démons. J’ai demandé de savoir pourquoi il jetait toutes ces choses à l’eau. Il me répondit que c’était pour adorer les sirènes. Je me suis dit : « Quelle est donc cette église qui adore les sirènes à la place de Dieu ? » Il me répondit : « Tu es venu pour prier, ne cherches pas à savoir le reste sinon nous allons te tuer ici à l’eau. » Je n’avais pas fait attention à ce qu’il avait dit. Ils m’ont ensuite demandé d’entrer dans l’eau. Dès que je le fis, le maître Ngoundza entra dans une grande colère, et il s’écria : « Eh, toi là, on en a marre de toi, tu commences à nous gêner profondément, ton étoile et tout ce que tu as nous dérangent et nous empêchent d’opérer. » Pendant que je m’apprêtais à sortir de l’eau, un autre est venu m’enfoncer la tête trois fois dans l’eau, puis on me sortit de l’eau. Je leur demandai alors la signification de la corde qu’ils m’avaient attachée autour du biceps. Ils me dirent que c’était pour ne pas que la Sirène de la zone me confonde à sa fille car je lui ressemblais beaucoup. Le pèlerinage étant arrivé à son terme, nous sommes rentrés à Dolisie. Arrivés à notre temple, on me plaça au milieu en face d’un tableau de tissus rouge sur lequel on avait dessiné une grosse croix blanche. On me dit alors de fixer le tissu rouge car je devais y voir des images autres que ce qui apparaissaient à vue d’œil. Il me demanda si je ne voyais pas des oiseaux voltiger au-dessus de la croix. Je dis non. Il insista et je lui disais que je ne voyais rien. Quelques temps après, je vis des oiseaux qui volaient au-dessus de la croix et il y en avait un qui avait pris position comme si il voulait picorer la croix. Contrairement à ce à quoi ils s’attendaient, ces apparitions n’avaient aucun effet sur mon être. Après cela, ils se mirent à me taper aux jambes, à la ceinture, aux épaules et aux talons avec des courts bâtons qu’ils tenaient à la main. Chaque fois, ils n’avaient pas les résultats escomptés. Il se fâcha en disant : « Tu es trop têtue, passe par ici ! » Je suis allée m’agenouiller près d’une sortie, les mains sur la tête, avant d’aller m’asseoir dehors. Une fois assise, le maître Ngoundza propriétaire du temple me tint ces propos : « tu détiens beaucoup de dons. Tu dois donc prier constamment. »
En effet, sans le savoir, au cours de ce pèlerinage, j’avais scellé mon alliance avec
Lucifer. C’est après cette alliance avec Lucifer qu’on m’avait nommée « Déesse des Mers. » Je commandais donc toutes les sirènes et tous les esprits des mers. Après cela, je continuais avec des grands sacrifices humains, à faire du mal et à détruire les humains. Il vous est parfois arriver de voir un enfant de huit ans en état de grossesse, c’est moi qui faisais cela. J’ai causé l’abrutissement de beaucoup d’enfants en leur ôtant l’intelligence de sorte qu’ils ne foutent rien à l’école. J’ai fait tant d’autres mauvaises choses, des sirènes postées dans des écoles afin de détruire les carrières des jeunes écoliers.
Un jour j’avais demandé à ma mère la signification de la corde rouge que je continuais à garder autour de mon biceps. La corde avait été coupée quelques temps plus tard mais puisqu’il fallait que je témoigne, Papa Émile a donc fait ressortir la marque de la corde sur ma peau afin qu’elle serve de preuve. C’est ce signe que vous voyez (montrant son biceps).
Quand j’avais donc posé cette question à ma mère, elle me dit que c’était une protection. Je lui répondis que la protection venait de Dieu et non des cordes. Elle me prit aux sentiments en me disant que si je l’aimais, je ne devais jamais couper cette corde. J’avais donc laissé la corde et je continuai dans mes œuvres de terreurs. Je continuai à exiger beaucoup d’autres sacrifices et à envoyer mes agents comme les OSCAR MOUKALA en mission.
Ma rencontre avec Oscar Moukala dans le monde mystique
C’est le Chef d’État d’un pays africain qui m’avait présenté Moukala Oscar pour la première fois. Il avait constaté qu’Oscar avait d’énormes potentialités mystiques et il fallait donc qu’il me l’emmène afin que je le mette à mon service. Il était donc question que je donne à Oscar des totems correspondants à son rang. Dans un premier temps, je lui avais tout donné, sauf les dents, c’est-à-dire qu’il ne pouvait pas encore manger la chair humaine.
A partir de là, je ne me déplaçais plus pour des missions. Quand il y avait une mission à faire, j’envoyais les Oscar ainsi que d’autres démons. J’avais par exemple envoyé Oscar attaquer les Trois mondes mais, la mission avait échoué. Pour cette mission, je lui avais remis les trois œufs dont il fait état dans son témoignage. Ces trois œufs représentaient les vies de tous les hommes de la terre. Si Oscar avait réussi à les placer là où il fallait, le monde devait être entièrement dirigé par nous.
On n’y avait pas pu et le monde était resté sous le contrôle de Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. Quand IL avait pourchassé mes anges destructeurs (Les OSCAR) des trois mondes, depuis notre trône satanique, nous avions subi de lourdes retombées.
Les gifles de Papa Émile qu’ils avaient reçues étaient arrivées jusqu’au trône de Lucifer et nous étions tous à terre.
Nous avions aperçu l’arbre de la vie éternelle passer et c’est Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO qui le portait. Nous nous sommes dit avec Lucifer qu’il fallait qu’on le LUI ravisse. Nous nous sommes donc joint des forces, Oscar et Dandy ont aussi joint leurs forces, Arlette et Taliane ainsi que le mari d’Arlette ont aussi fait autant mais, on n’avait pas pu ravir l’arbre de la Vie éternelle des mains de Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO.
C’est moi qui avais donné à l’oncle d’Arlette la sirène. J’avais fait autant à Taliane lorsque sa grand-mère me l’avait demandé, à sa mère aussi. Il y a beaucoup de Gabonais qui étaient mes adeptes, c’est moi qui les ravitaillais en pouvoir satanique.
En fait, avant d’envoyer les Oscars dans les trois mondes, j’y avais fait une expédition, seule lors de ma troisième incarnation mais, elle avait échoué. J’y ai envoyé Oscar avec une équipe de grands sorciers lors de cette quatrième incarnation, nous avons encore échoué. Avec Lucifer, nous n’avons pas pu ravir l’arbre de la vie éternelle des mains de Papa Émile. Nous étions aussi incapables d’intercepter l’étoile de David.
Parlant de l’étoile de David, lorsqu’on la poursuivait, on ne pouvait l’approcher à cause de la chaleur, la Lumière et la puissance qui se dégageaient d’elle. Nous la poursuivions mais nous devions rester à des milliers de kilomètres d’elle (l’équivalent à la distance Pointe Noire – Ouesso) au risque de nous brûler. Ceux des nôtres qui s’hasardaient à l’approcher étaient réduits en cendres. Lors de cette poursuite, je me trouvais en Amérique avec Lucifer et Oscar se trouvait quelque part. Comme nous faisions trop de mal, si on avait approché cette étoile, nous serions devenus poussière.
Voilà pourquoi, en guise de précaution, nous étions tenus de rester très éloignés d’elle. Ambitieux que nous étions, je projetais d’éliminer Lucifer afin que je prenne sa place et qu’Oscar prenne la mienne. Il ne me restait qu’à franchir une seule étape pour que j’arrive à éliminer Lucifer.
Le monde mystique, une corbeille à crabes
Lucifer m’aimait beaucoup et il était très attaché à moi. N’oubliez pas aussi que les sorciers sont très têtus et audacieux. Je me disais qu’il fallait que je tente ma chance. Lui-même Lucifer, il passe son temps à chercher à prendre la place de Dieu. Je me disais qu’on n’avait donc qu’à essayer. On se disait que toutes les chances étaient de notre côté parce qu’on avait constaté que, contrairement à ce qu’il nous faisait croire, Lucifer était limité, il n’était rien devant Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. Si on forçait, on pouvait peut-être arriver à l’éliminer.
L’étoile de David dégageait une chaleur tellement forte que nous étions obligés de rebrousser chemin et c’est une fois repartis chez nous que j’avais présenté Oscar à Lucifer. C’est aussi en ce moment que j’avais montré à Oscar les Quatre portes mystiques de la Côte sauvage de Pointe Noire. Il n’avait pas vu Lucifer en face. Ce n’est que la main de Lucifer au milieu de laquelle il y avait un Œil qui parlait avec lui.
Lucifer n’est pas noir, il est blanc et laid à voir. C’est du pur mensonge lorsqu’on dit que Dieu est blanc et Satan, noir. C’est plutôt le contraire et la plus part des sirènes sont très claires de peau. Je n’avais jamais vu une sirène noire. Dieu est noir et c’est Lucifer qui est blanc. Ce qu’on vous a toujours dit n’est que du mensonge. C’est d’ailleurs nous qui avons fait que ce mensonge soit inculqué aux humains que vous êtes. Malgré tout ça, nous n’avions jamais pu avoir le contrôle total du monde. Lorsque j’avais mis Oscar en contact avec Lucifer, je lui fis alors pousser les dents pour qu’il soit à même de manger la chair humaine. C’est aussi à ce moment que j’avais fait pousser des dents à Taliane. Cette dernière mangeait la chair humaine sans qu’elle ne sache que c’était cela. J’avais remis, au même moment, des pouvoirs de domination à la Sœur Yanne qui disait qu’elle était une grande sirène. Il s’agit de la sœur qui, lors de l’intervention de la maman de Tchibanga à Nzaza, avait dit qu’elle était Tchikambissi. En fait, c’est elle qui m’avait remplacée lorsque j’avais atteint des niveaux plus importants. Lorsque Lucifer avait fait de moi La Déesse des Mers, elle avait donc hérité de mon surnom de Tchikambissi. C’est toujours à cette même occasion que j’avais approvisionné le mari d’Arlette en pouvoir de domination. Et j’avais aussi donné à Dandy l’esprit de débauche et gaspillé les pieds d’Oscar. Tel que vous voyez Oscar, je lui avais foudroyé les jambes avec des serpents de nuit. Je lui avais déjà demandé pardon pour cela.
J’étais devenue très puissante et très nerveuse. C’est alors que j’avais eu sept gosses avec Oscar dans notre monde satanique. On s’entendait tellement bien avec Oscar que je voulais qu’il vienne à mon niveau et moi, je prenne la place de Lucifer. On n’y avait aussi pas pu. C’est aussi parce que j’étais beaucoup attachée à Lucifer avec qui j’avais d’ailleurs eu deux enfants, à part les quatre autres que nous avions eus lors de mes incarnations antérieures. Je les avais tous mangés juste avant que Papa Guy
Émile LOUFOUA CETIKOUABO ne m’appelle à son service. Ces deux enfants s’appelaient Reine et Reina. J’avais aussi fait sept enfants avec Moukala Oscar mais, je les avais tous mangés car je ne voulais pas les garder. Et en ce moment, j’étais fâchée contre les hommes. Je ne voulais pas que des hommes me fassent des avances. Ceux qui osaient me faire des avances étaient purement et simplement éliminés et je les bouffais. Il y a deux ou trois ans de cela, un vent est passé par ici et a détruit des maisons et beaucoup de gens. Je sais que vous vous en souvenez, vous les mamans de Dolisie. En tant qu’ancienne habitante de Dolisie, vous vous rappelez qu’il y a eu un premier vent destructeur en 1977 et un deuxième tout récemment en 2009. Ce dernier vent avait détruit des maisons et causé la mort de plusieurs personnes ici à Dolisie, à Kikassa et dans les environs.
Tout ceci était mon œuvre. Ce vent avait longé la périphérie de Dolisie, à Nkayi et à Bouansa jusqu’à Ouesso. J’étais fâchée car je ne voulais pas partir à Ouesso où on m’obligeait d’aller. J’étais dans une colère grise lorsque j’arrivai à Ouesso. Et là, ma puissance malfaisante avait atteint son paroxysme. Je ne m’amusais plus, je faisais passer des gens n’importe comment, à moindre regard. Il ne fallait pas me fixer, celui qui le faisait était un Homme mort. Je ne vivais plus avec les humains. Les gens en voyant mon corps pouvaient croire que j’étais là, au fond ce n’était pas moi, j’habitais ailleurs, ce que vous voyiez n’était que du vent dans ma peau.
Pendant que j’étais à Ouesso, j’avais augmenté en puissance maléfique. Je devais même bouffer ma propre sœur. Voilà pourquoi on m’avait renvoyée d’urgence ici à Dolisie. Je continuais à faire le mal, à tuer mystiquement les gens. Un jour à Ouesso, j’avais défiguré un homme, il avait maintenant le nez à la place de l’œil et vice versa. J’étais au CM2 toujours à Ouesso ; la date des évaluations étant arrivée, je me suis rendu compte que je n’avais pas eu le temps d’étudier mes leçons car mes activités sataniques me prenaient tout le temps. Ce jour-là, pendant qu’on était dans la classe, j’ai repéré une bonne tête que j’ai mystiquement échangée avec la mienne. Et puisque j’étais très occupée auprès de Lucifer ce jour-là, j’avais appelé Oscar pour qu’il vienne composer à ma place. En me voyant, les gens croyaient que c’était moi, or c’est Oscar qui était dans ma peau. Pendant ce temps, je vaquais à mes occupations aux côtés de Lucifer.
Il s’agissait des compositions de classe et non le CEPE car le jour de l’examen, j’avais moi-même composé. J’avais jeté un mauvais sort à toutes les filles de mon école de Ouesso : elles ne pouvaient pas s’admettre à l’examen. Pendant que mon corps se trouvait en classe, je me trouvais moi-même au bord de la rivière, entrain d’attirer mystiquement les élèves à la baignade à l’issue de laquelle on enregistrait toujours des morts ou disparitions par noyade. Il arrivait donc que certaines femmes sorcières de Ouesso nous réclament leurs enfants morts. Quand c’est le cas, on leur envoie des rejets de banane ou des singes à la place. Le monde mystique fonctionne en réseau, il suffit juste d’être connecté. Cela justifie le bel accueil que j’ai reçu de la part des sorciers de Ouesso lorsque j’y arrive. Ils m’avaient bien reçue car dès mon arrivée, ils avaient reconnu en moi une grande autorité mystique et ils s’étaient empressés de m’offrir plusieurs humains en sacrifice.
Avec Lucifer, nous avons créé des situations qui ont causé beaucoup de pertes en vies humaines dans le monde entier. Prenez le cas des épidémies qui font des ravages et je parlerais principalement du sida. Eh oui, le sida est l’une de nos émanations. Nous commettons nos émissaires comme les Dandy pour le répandre dans les
sociétés humaines. Le vent dont je vous ai fait état plus haut a aussi fait des ravages ! Aussi, il y a eu beaucoup d’accidents de trains et d’avions, au Congo par exemple, qui ont causé plusieurs pertes en vies humaines. En fait, les autorités de nos pays ont souvent besoin de monter en puissance satanique afin de rester longtemps au pouvoir mais, pour cela, il faut beaucoup de sacrifices humains. Voilà pourquoi, ils posent leurs doléances auprès du Pape qui me les transmet ensuite. Et avec l’accord de Lucifer, nous provoquons des catastrophes et récupérons ces âmes par la suite en guise de sacrifices offerts à nous par ces autorités. Un jour, un Pape est venu plaider auprès de moi pour une autorité d’un pays africain. Ce dernier voulait qu’on provoque une catastrophe pour qu’il ait des âmes à nous donner en sacrifice. Je n’étais pas pour que cette autorité bénéficie de cette faveur. Ce Pape avait tellement insisté et comme je ne voulais pas, j’avais vite fait de le tuer et demander à ce qu’on le remplace par un autre Pape de mon choix. C’est l’esprit de ce Pape qui était dans la Sœur qu’on avait délivrée à Nzaza Noa à Kibossi lors de la fête de la Rémission des péchés 2011. Cet esprit a été sorti de cette femme et enchaîné là-bas à Nzaza Noa par Papa Guy Émile
LOUFOUA CETIKOUABO.
À un moment donné, j’avais moi-même eu besoin du sang humain. Je devais donc provoquer une grande catastrophe où on aurait beaucoup de pertes en vies humaines. C’est pourquoi il y a eu, à cette période et un peu plus tard des catastrophes ferroviaires et aériennes un peu partout. Je renversais mystiquement les locomotives ou les avions pendant que mes agents Oscar et les autres passaient en action dans la récupération. Tous ceux qui invoquaient Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO disparaissaient de nos vues et les autres périssaient. La plus part des accidents de route qui ont eu lieu un peu partout étaient mystiquement orchestrés par moi.
Avant que je ne quitte Ouesso, Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO m’était apparu et avant de vous en parler, je voudrais juste signaler que les accidents et autres, nous les provoquions, non seulement au Congo mais, dans tous les pays. La plupart des catastrophes aériennes, par exemple, qui ont eu lieu en Europe et aux Amériques ont été causées par nous, à la demande des autorités de ces pays. Les exemples des catastrophes humanitaires causés par nous sont légion. Tenez, Nous poussons parfois des peuples d’un même pays à ne plus s’entendre, ce qui aboutit tout naturellement à des guerres fratricides. Ce qui s’est passé tout dernièrement était le fruit de notre machination.
Le trône de la déesse des mers
Mon trône en tant que Déesse des Mers se trouve au Congo Brazzaville. Le trône de Lucifer aussi se trouve au Congo Brazzaville. Et j’avais mes représentants dans certains pays et chaque représentant avait un domaine spécifique qu’il gérait. Mon représentant de Cotonou, par exemple, s’occupait des plaies mystiques qu’on retrouve chez beaucoup de commerçants. Au Sénégal aussi, il y en avait un. Je les avais placés à chaque niveau pour qu’ils répondent à certaines demandes puisque je ne voulais pas être embêtée même pour des petites choses. Sinon, le trône de La Déesse des Mers se trouve au Congo Brazzaville. Là où il y a le Trône de Dieu, c’est là où Satan installe aussi le sien car il croit pouvoir prendre la place de Dieu.
Il y a très longtemps que ce trône se trouve ici car il y a aussi très longtemps que Papa
Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO s’était installé au Congo Brazzaville.
Pour votre gouverne, Papa Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO s’installe au Congo juste après la crucifixion de Jésus. En effet, après donc sa résurrection, Il était venu s’installer définitivement au Congo Brazzaville. Cependant, personne ne le savait et maintenant que sa Divinité s’est révélée, les gens crient au scandale. Je vous apprends aussi que c’est seulement après la révélation de la Divinité de Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO que les juifs commencent à accepter que Jésus était Dieu. Ils le font parce qu’il faut empêcher aux humains de croire à la Divinité de Papa Guy
Émile LOUFOUA CETIKOUABO. Papa Émile ou Jésus, c’est la même personne, celle que nous avons toujours poursuivie mystiquement mais, en vain, depuis des millénaires.
Ma rencontre avec Guy Emile LOUFOUA CETIKOUABO
Cela remonte de très loin ! La première fois que j’avais croisé Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO, c’est lorsqu’il était venu au monde sous le nom de Jésus. A cette époque, nous avions mystiquement combattu contre Lui. Nous avions incité les autorités de son pays de l’époque pour lui faire du mal, pour le faire souffrir afin qu’Il abandonne sa mission mais, nous n’avions pas réussi. C’est donc depuis quand IL était venu sous le nom de Jésus que j’avais connu Papa Émile. Et même quand Il s’appelait Jésus, Il était toujours noir. Oui, Jésus n’a jamais été blanc, comme on vous le montre dans les images. L’image du Jésus blanc que vous voyez souvent est une pure création des magiciens pour détourner les humains de la vérité.
Quand on poursuit mystiquement quelqu’un, depuis sa naissance jusqu’à ce qu’il devienne adulte, on finit par le connaitre, du moins humainement. J’ai été sur les traces d’Émile depuis quand Il s’appelait Jésus et, je puis dire que Jésus avait une famille : femmes et enfants ? L’incrédulité des humains sur la personne de Jésus remonte de l’époque où Il était venu sous le nom de Melchisédech. Les gens n’avaient pas pu percevoir sa Divinité. Il avait donc fallu qu’il revienne sur terre par le canal ordinaire de naissance afin de vivre avec les humains et de les enseigner directement. Voilà pourquoi Jésus avait un corps d’homme ordinaire. Qui vous a alors dit que Jésus n’avait pas eu d’enfants ? Jésus avait bel et bien une famille, une femme et des enfants.
Comme on trouvait blasphématoire le fait que Dieu ait une femme et des enfants, on s’était alors arrangé à éliminer les enfants de Jésus et son épouse. Dans un premier temps, son épouse avait réussi à s’enfuir avec un seul enfant alors que tous les autres étaient éliminés. La femme avait été rattrapée par la suite et tuée. C’est nous qui sommes auteurs de toutes ces choses. Le fils, quant à lui, avait réussi à s’échapper et sa descendance vit jusqu’aujourd’hui. On avait fait tout cela pour que le nom de Jésus disparaisse et qu’on n’en parle pas à l’avenir mais, c’était une peine perdue.
Je ne me souviens pas du nom de la femme de Jésus mais, ce que je sais c’est qu’elle était aussi noire de peau, tout comme leurs enfants. Avant que le drame pascal n’arrive, Jésus avait averti sa femme et lui avait dit que la mission pour laquelle IL était venu sur terre était arrivée à une étape de pointe. Il n’allait plus rester physiquement avec elle. Et il lui avait dit tous les secrets de sa mission, sa Divinité et ce qu’il fallait faire. Vous comprendriez donc pourquoi il fallait que nous éliminions la femme de
Jésus et tous leurs enfants parce que nous croyions qu’en le faisant, le monde n’allait plus parler de Lui et nous devrions prendre le contrôle total de la terre. Malheureusement, là aussi, on avait échoué.
Revenons alors à Papa Émile. En effet, quand on avait tué Jésus, Il est ressuscité et après Il est revenu sur terre sous le nom de Guy Émile LOUFOUA CÉTIKOUABO. Cette fois-ci, Il était venu avec beaucoup plus de puissance, Il était plus grand et plus fort qu’Il ne l’était quand Il s’appelait Jésus. Papa Émile est vraiment puissant !!! Dans le monde luciférien, on ne prononce pas le nom « ÉMILE ». Celui qui ose le faire est systématiquement éliminé. À la simple prononciation de ce nom là-bas, le feu apparait, accompagné d’une très grande chaleur.
Aujourd’hui, le vocable « Jésus » n’a plus la puissance et la force qu’il avait. Tu peux le prononcer chez Lucifer là-bas, ça ne fait plus rien. Même nous les magiciens, nous nous amusons maintenant avec ce nom. Remarquez seulement ce qu’on en fait dans les églises actuellement, ce nom est cité à tout bout de champ, chose qu’un magicien ne peut faire avec le nom « Émile ». La majorité des églises que vous voyez là, leurs patrons, pasteurs ou que sais-je encore sont tous mes adeptes. C’est chez moi où ils viennent prendre des pouvoirs pour dominer sur leurs fidèles. Quand j’avais besoin des sacrifices humains, je partais les prendre dans les églises. Ces mêmes pasteurs et patrons d’églises m’invoquaient et quand j’arrivais, je planais au-dessus des fidèles en forme de vent, récupérant les âmes qui m’étaient offertes.
Permettez-moi donc de revenir sur ma première rencontre avec Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. J’ai dit plus haut que cela avait eu lieu lorsqu’il était venu sur terre sous le nom de Jésus. Et le jour de sa montée au Ciel, j’étais là, bien présente. Pendant qu’Il montait, Il me disait : « Il y aura un jour où toi et moi on se reverra ». IL ajouta : « Ma fille, même si tu ne veux pas croire en moi, saches que tu as mon étoile avec toi, et nous nous rencontrerons un jour. » Je lui avais répondu : « Que crois-tu que tu es ? Crois-tu que tu me dépasses en pouvoir ? » Il avait juste secoué sa tête et Il montait. J’avais donc assisté à l’ascension de Jésus Christ. De la même manière qu’Il est monté au Ciel le jour de l’ascension, c’est de cette même manière qu’il était parti au ciel après son attentat du 05 février 2002. Il se succédait à Lui-même en montant. C’est donc comme cela que tout s’était passé. Émile ou Jésus, c’est la même personne. Le vent que vous appelez Esprit Saint, c’est toujours Émile. Toutes ces trois entités sont un en Émile.
En cette quatrième incarnation où je vis sous la forme humaine, ma première rencontre avec Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO avait eu lieu en Amérique. Pendant que je me trouvais à Ouesso, Lucifer m’avait demandé d’aller visiter les Sirènes des mers Américaines. J’étais dans le corps de serpent ancien et arrivée dans une ville Américaine, pendant que je faufilais entre les jambes des gens qui marchaient dans la grande avenue, je me suis retrouvée face à face avec Guy Émile LOUFOUA
CETIKOUABO. Il avait son corps d’humain dans cette grande avenue d’une ville Américaine. Depuis longtemps, j’avais su qu’Émile est Dieu, Il me l’avait dit depuis très longtemps, je ne voulais pas juste le LUI concéder. Je ne suis pas comme vous qui venez de l’apprendre. Il disait, si les gens osent venir me tenter, combien de fois vous ? Vous comprendriez donc que je pouvais me retrouver au même moment à Ouesso et aux Amériques. Dans quelles circonstances donc y avais-je rencontré Papa Émile ?
Vous savez, je gérais des sirènes et ce corps n’est qu’une enveloppe. Lorsque je partais en mission, je mettais une sirène dans mon enveloppe corporelle et moi-même, je me retrouvais à l’autre bout du monde. Mon corps est toujours là mais, ce n’est pas moi qui suis dedans, c’est une sirène qui prend ma voix et agit comme moi de telle sorte qu’il ne soit pas évident pour un commun des mortels de se rendre compte du jeu. Pendant ce temps, je vaque à mes occupations sataniques ailleurs mais, il nous a toujours été difficile d’atteindre les hommes de Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. Quant au reste, les atteindre est aussi facile qu’attraper une chose devant vous. Ce jour-là, donc, à Ouesso, au lieu d’aller à l’école, j’étais partie cacher mon corps sous l’eau et je m’étais retrouvé loin en Amérique.
Je faufilais donc entre les jambes des passants ce jour-là et Ils ne pouvaient pas me voir, excepté ceux qui ont des yeux. Et ces derniers, lorsqu’ils me rencontrent dans de telles circonstances, ils tremblent de peur et il arrivait même qu’ils pissent ou chient dans les habits. Il pouvait aussi arriver que je dialogue avec eux et vous, vous penseriez qu’ils monologuent. Lorsque je faufilais entre les jambes des passants comme ça, j’étais entrain de leur jeter des mauvais sorts aux jambes et au corps. C’était pour moi comme un jeu. Et pendant que je m’apprêtais à faufiler dans les jambes de la troisième personne, je sentis que je ne pouvais plus avancer. Je me suis sentie bloquée par quelqu’un qui avait plus de force mystique que moi. Je me suis dit : « Qui sur cette terre est plus fort que moi ? » Je n’en revenais pas ! C’était Papa Guy
Émile LOUFOUA CETIKOUABO, je n’avais pas pu le fixer, tellement qu’Il rayonnait de Lumière et de Gloire. J’étais pourtant dans le corps du serpent ancien mais, dès que j’avais vu Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO, ma tête d’humain était ressortie et j’avais gardé le corps de serpent. C’était invraisemblable pour moi, Déesse des Mers. A cet instant, IL me dit : « Ma fille, tu souffres vraiment, te rappelles-tu, je t’avais dit qu’on se reverra un jour ! » Je ne pouvais rien dire. La seule chose que je pouvais faire, c’était reculer. Je reculais en m’écriant « eh eh eh ! » Puis je lui demandai finalement : « Qui es-tu ? » Il se mit à sourire sans rien dire puis il me tendit sa main. Une douce chaleur se dégageait de sa main, ce genre de chaleur qui fait du bien au corps. Et de temps en temps Il changeait de couleur, c’était un beau spectacle, sauf que je ne pouvais pas le fixer. Si j’avais osé LE fixer, je serais morte et vous auriez seulement appris ma mort car j’avais trop le mal en moi. J’avais la tête baissée et c’est seulement l’œil que j’avais à la nuque qui pouvait contempler le bras duquel se dégageait cette tendre et douce chaleur.
C’est vrai que j’étais une grande sorcière mais, j’avais beaucoup aimé cette Lumière qui se dégageait de la main de Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. J’avais un désir sincère de prendre cette Lumière tellement elle était belle. Je vous dis, Papa Émile vous aime. Il a encore levé le bras puis il me dit : « Ma fille, ton heure n’est pas encore arrivée, je te donne deux ans, ensuite tu travailleras pour moi. » Je me suis dit au fond de moi : « Laisses-moi d’abord faire ma vie d’agent maléfique ! » Quand je pensais ainsi, IL n’était plus là. Et je me suis énervée ensuite du fait qu’Il m’avait fait perdre mon temps car je ne pouvais plus aller accomplir ma mission. En fait, j’avais entre autre une mission : aller éliminer un des présidents Américains. La mission avait échoué et après cela je suis restée neuf (9) jours dans ma vie d’humain clouée au lit, chiant et pissant dans les habits. Je ne sortais plus, même pas pour aller à l’école. Je n’avais même pas pu passer le CEPE blanc.
Avant qu’IL ne parte, Papa Émile me dit encore : « Ah ma fille, quelle souffrance ! Saches seulement que tu vas travailler pour moi. Tu as laissé Satan blaguer avec les dons que je t’avais donnés pour me servir. C’est moi-même qui avais permis cela. Et d’ici là, je vais t’enlever de ce monde satanique. Je bénis ta route et je bénis ta vie. » J’avais peur que ça soit des malédictions à la place des bénédictions car me connaissant, je ne méritais pas les bénédictions de Dieu. Après cela, Il fit un ou deux pas puis Il disparut devant moi mais, il y avait toujours cette belle Lumière là où Il était et l’empreinte de ses pieds étaient toujours là. Je suis restée là trois jours durant contemplant cette empreinte. J’étais devenue comme une attardée mentale. Je n’avais plus accompli la mission pour laquelle Lucifer m’avait envoyée là-bas. J’étais obligée de rentrer. Je réfléchissais sur tout ce qui venait de se passer lorsque Lucifer vint s’enquérir de ma situation. Je lui répondis avec un air offensif : « Tu nous as envoyé intercepter l’arbre de la vie éternelle et l’étoile de David, on n’a pas pu. La mission des trois mondes avait échoué et on n’a pas pu éliminer Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO. A cause de Lui, toutes ces missions ont échoué. Ne vois-tu pas qu’IL est plus puissant que toi. Je vous jure mes amis qu’à ce moment, ma conscience d’Homme commençait à faire ses débuts.
Il se mit à secouer ses ailes d’une fausse blancheur angélique en me baratinant :
« Non, ce n’est pas cela. Tu sais que je veux que tu sois aussi puissante que moi ! » J’ai insisté en disant que Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO était plus puissant que lui. Je lui fis encore remarquer : « Lorsqu’on poursuivait l’Etoile de David, toi et moi étions obligés de rester loin en Amérique, alors que l’étoile était à Kibossi, de peur d’être réduits en cendre si on l’approchait. Si vraiment tu es plus fort comme tu le prétends, allons alors à Kibossi ! » Il ne savait que dire puis, il m’a baratiné de plus bel et embrouillé comme il sait le faire.
Après cela, il me confia une autre mission consistant à tuer des petits enfants et à gaspiller les vies de certains dans les écoles et partout. À cause de nous, une fille de sept ans est tombée enceinte à Ouesso. Un jour, toujours dans mes tâches sataniques, je fis la rencontre de Papa Émile dans l’enceinte de mon école. Il avait pris la forme d’un petit enfant. Je marchais accompagnée de mes petites sirènes et arrivées à un niveau, je constatai que mes compagnons venaient de prendre la clef des champs. Je me suis arrêtée pour voir ce qui n’allait pas et aussitôt je commençais à me sentir bizarre. Je sentis comme si je voulais me transformer, mes petits totems de serpents sortaient de l’arrière de mon cou. Ces petits serpents m’ont entourée et après cela, un gros serpent est sorti de ma bouche jusqu’à une certaine longueur puis il se mit à me lécher le visage. Puis je commençais à prendre les visages de tous mes totems, en prenant d’abord celui de la tortue et de tous les autres par la suite.
Vous savez, c’est moi qui distribuais les totems aux sorciers du monde entier et pour le faire, il fallait que j’aie tous les types de totems pour qu’aucun ne soit plus fort que moi. Je ne pouvais plus rien faire. Papa Émile me dit ensuite : « Je vais te donner des dons sauf que cette fois-ci tu vas t’en servir pour le bien. » Je me suis dit au fond du cœur : « quels sont donc ces dons-là ? » Il me répondit comme s’IL m’avait entendu parler : « Je sais ce à quoi tu penses. Je t’avais dit que tu avais mon étoile car tu es ma fille, tu seras à mon service. » Au fond du cœur je disais : « vas–y alors ! » Il continua de parler : « Tu te rappelles que je t’avais laissé deux ans… » Je ne supportais plus sa présence. Par ces mots, IL poursuivit son chemin. Restée seule, j’ai essayé de calculer, par rapport aux deux ans, le temps qui me restait à œuvrer encore pour Lucifer. Tout compte fait, il me restait un an. Je me suis dit : « Merdes, sur les deux ans qu’IL m’avait accordés, il ne me reste donc qu’une année et je vais mourir ! »
Le fait de savoir qu’il ne me restait qu’une année m’avait poussé à faire beaucoup plus de mal au point où j’avais même voulu « bouffer » l’enfant de ma grande sœur. Et jusqu’aujourd’hui cet enfant s’évanouit de temps en temps. En fait, quand l’enfant s’évanouissait, mystiquement, il y avait des sirènes qui lui massaient le bras. Je n’hésitais pas de jeter des sorts de maladies graves aux enfants de mes sœurs de sorte qu’elles devaient beaucoup dépenser en allant dans les hôpitaux. Je causais des troubles dans les foyers de mes grandes sœurs pour qu’elles ne s’entendent pas avec leurs maris respectifs.
Enchaînée à Kibossi
Les deux ans que Papa Émile m’avait donnés étaient arrivés et je m’étais retrouvée enchaînée à Kibossi. Pendant que vous me voyiez, il ne s’agissait que de mon enveloppe corporelle car ma vraie personne était enchaînée à Kibossi. Demandez-moi Comment ?
Eh bien, Lorsque Oscar était entrain de témoigner, depuis le monde Luciférien, nous le voyions à l’aide de nos écrans. En fait, pour l’occasion, on avait installé notre QG dans le Fleuve Djoué, l’autre côté de la gare de Kibossi. J’étais là, moi-même en personne, car je tenais à empêcher qu’Oscar témoigne, je ne voulais pas qu’il le fasse.
Je m’étais déjà un peu attachée à lui et je ne voulais pas qu’il quitte notre monde. Dès qu’il avait commencé à témoigner, vos chefs de Louzolo, ceux de premier rang, sont venus au Djoué me supplier pour que j’empêche Oscar de témoigner. Pour ce faire, ils m’avaient apporté beaucoup d’argent et d’autres cadeaux. Après cela, je me suis lancée à l’attaque mais, aucune tentative n’avait abouti. J’avais utilisé des militaires pour qu’ils éliminent Oscar à Brazzaville et à Pointe Noire, on n’avait pas réussi.
Au Djoué, les chefs de Louzolo sont venus me voir et comme ils ne pouvaient pas transmuter dans le village d’Émile. Ils étaient obligés de quitter le cercle et de venir en personne jusqu’au fleuve pour me supplier avec des cadeaux et de l’argent pour que j’empêche Oscar de témoigner. Ils voulaient que j’élimine Oscar puisqu’il s’apprêtait à dévoiler leurs secrets, à dénoncer leurs œuvres sataniques en public.
Lorsque vous voyez les rails de la gare de Kibossi, spirituellement, c’est une grande muraille de feu infranchissable qui divise la ville de Kibossi en deux. Ceux qui osent franchir mystiquement cette muraille sont tout de suite réduits en cendre.
J’ouvre une parenthèse en disant que le jour où je poursuivais l’Etoile de David, Papa Émile se tenait loin devant et l’étoile est allée s’enfoncer dans son ventre lorsqu’IL avait largement ouvert ses bras. Et puis, la lumière s’est frayée des issues tout autour de son ventre et elle se mit à se répandre jusqu’aux bouts du monde. On n’avait pas pu prendre l’étoile de David.
Je savais bel et bien que la puissance de Papa Émile ne me permettrait pas d’opérer afin d’aboutir à des résultats escomptés mais, je devais montrer à mes consultants que j’étais vraiment leur Déesse et « capable de tout ». Je faisais donc mes opérations depuis le Fleuve Djoué, cherchant à déjouer la mémoire d’Oscar afin qu’il n’ait plus le fil d’idée mais, rien à faire. Tout ce qu’il y avait à faire, c’était suspendre le témoignage sous prétexte de programme chargé tout en lui promettant de poursuivre le lendemain. Vous avez dû constater que le lendemain, on ne lui avait plus accordé la parole. Évidemment, Oscar n’avait pas tout dit, il connait beaucoup de choses car ce sont eux que j’envoyais sur le terrain.
Vous seriez tentés de savoir comment je me suis retrouvée enchaînée. En effet, depuis le Djoué, dans mes incantations, je commençais à montrer à Oscar des tableaux mystiques pour qu’il s’embrouille et que le temps passe. Papa Émile n’était pas d’accord que je vienne empêcher Oscar de parler. Il est entré dans une grande colère et il nous est apparu car les chefs qui sont venus me consulter étaient toujours là. Dès qu’ils ont vu Papa Émile apparaître, ils se sont agenouillés et ont commencé à supplier Papa Émile de les pardonner. Si quelqu’un serait venu par hasard ce jour-là au Djoué, il les aurait vus à genoux. Il y avait beaucoup d’autres esprits qui formaient mon QG. Sans dire mot et d’un jeu de doigts, Papa Emile me sortit de l’eau et me balança jusqu’au lieu où je m’étais retrouvée enchainée, à Kibossi, plus précisément à Nzaza Noa et très exactement à la Zone interdite, c’est-à-dire au côté droit quand nous montons au Grand Sanctuaire, entre le pont et l’hôpital, au milieu, pour vous voir tous passer. Et ceux qui ont des yeux aussi me voyaient. J’étais défigurée, laide à voir. Lucifer, quant à lui, avait maintenant des cornes de chair qui lui sortaient de la tête et partout au visage. Tout cela se passe donc lorsqu’Oscar avait témoigné à la Fête de la Rémission des Péchés 2008.
Il y avait de la chaleur ! Tu brûles de chaleur mais tu ne consumes pas. Quelle souffrance interminable ! Vous voyez, vous les cameramen, au cours des dambages, vous filmez parfois des frères et sœurs fatigués qui sont dans des positions bizarres, d’autres mêmes en train de dormir ou de ronfler. Lorsque Papa Émile reçoit ces films, Il les suit avec beaucoup d’enthousiasme. Son Trône est plus en haut et nous étions enchaînées en bas. Depuis notre prison, nous Le voyions entrain de s’esclaffer en voyant les images de ceux qui dambent, qui ronflent ou qui s’endorment. Il est dans une grande joie lorsqu’IL suit ces films. Le malheur pour les prisonniers est que pendant qu’IL suit ses films, il nous tape à l’aide du bâton qu’Il tient en main. Et quand le bâton là tombe sur toi, quelle douleur ! Tu as l’impression qu’on est en train d’enfoncer des clous dans ta chair. Papa Émile venait voir les prisonniers une fois dans l’année et moi, Il m’avait installée pas trop loin de Lui, imaginez alors la chaleur que je ressentais dans ma prison ! Quelles souffrances !!! Nous y étions nombreux, emprisonnés. J’y ai même laissé tous les autres. Moi, Papa Émile m’a libérée parce que mon temps pour Le servir et proclamer sa divinité était arrivé. Lucifer est déjà enchainé, il est là-bas. Ils sont très nombreux avec ceux qui opèrent dans des pays étrangers. La souffrance y est insupportable. Malgré ça, celle que j’avais laissée dans ma peau n’arrêtait pas de travailler. Une petite sirène que je venais de nommer Tchikambissi. Vous savez, il ne leur reste plus grand-chose, Papa Émile a déjà tout ravi. Voilà pourquoi cette sirène n’aura jamais le succès que j’avais quand j’étais Tchikambissi. Elle n’a pas les pouvoirs que j’avais.
Je souffrais tellement que je ne supportais plus. J’étais obligée de demander pardon à Papa Émile, je le suppliai de me libérer et à la Pâques, IL avait demandé à ce que je parte à Kari kari afin d’aller témoigner. Malheureusement, je n’avais pas fait le voyage. Têtue que j’étais, après ma libération, une fois chez moi, j’avais renoué avec mes œuvres sataniques.
Je ne puis vous dire combien de temps j’avais passé sous les chaînes car je n’avais pas la notion du temps. Je me rappelle juste qu’un jour, Il me dit : « Tu es vraiment têtue ! Malgré cette grande chaleur qui te brûle le corps, tu refuses de renoncer à tes pratiques sataniques ! Vas-y ! Ton heure n’est pas encore arrivée.» J’y avais laissé
Oscar enchaîné. Après cela, Il fit un jeu de main et je m’étais retrouvée au Marché de Lundi de Dolisie. Une fois en liberté à Dolisie, j’avais continué à faire mes œuvres. Oscar aussi, malgré le fait qu’il était enchaîné, son corps physique était toujours capable d’opérer mystiquement.
Le jour où j’avais montré à Oscar les quatre portes de la Côte Sauvage de Pointe Noire, c’est ce jour où j’avais scellé mon alliance avec lui et dans le projet, nous étions en train de préparer la chute de Lucifer afin que je prenne sa place et qu’Oscar devienne mon second. C’est exactement ce que je lui avais promis s’il me restait fidèle. Depuis lors, il était devenu le chef de toutes mes opérations, c’est lui que j’envoyais accomplir mes missions et exécuter des grandes tâches. Vous êtes sans ignorer les missions des trois mondes, l’arbre de la vie éternelle, l’étoile de David et bien d’autres. Je m’apprêtais donc à donner à Oscar le pouvoir qui lui manquait afin qu’il devienne véritablement mon second et qu’on aille exécuter notre plan contre Lucifer. Malheureusement, le jour où le plan devait entrer en exécution, je m’étais retrouvée enchaînée chez Papa Émile. En fait, ce dernier n’avait pas voulu qu’on élimine déjà Lucifer car avant que cela n’arrive, le monde entier doit d’abord reconnaitre sa Divinité. Le plan est que Satan doit être utilisé pour amener les humains à reconnaitre que Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO est Dieu.
Mon intégration dans l’Association Louzolo Amour OPH
Après donc toutes ces œuvres et l’échec de mon plan contre Lucifer, je vivais maintenant physiquement à Brazzaville car ma sœur aînée m’y avait emmenée. J’y avais commis des atrocités dans des boîtes de nuit, mes sirènes étaient envoyées partout pour commettre des meurtres et pousser des jeunes filles et garçons à la débauche et à l’extravagance. Je jetais aussi des mauvais sorts provoquant des maladies. Papa Émile m’apparut et m’intima l’ordre de quitter Brazzaville et d’aller vivre à Dolisie. J’étais donc partie rester à Dolisie avec ma sœur ainée nommée Sr Joseline qui est Membre de l’OPH et son mari s’appelle MOUANDA Brel, il est Membre Confirmé de l’OPH. Il a fait deux enfants avec ma sœur en plus des deux autres qu’il avait faits avant avec une autre femme.
Quand ma sœur aînée avait appris que j’étais rentrée de Ouesso et de Brazzaville, elle vint me rendre visite et pendant qu’on se donnait des nouvelles, elle me dit qu’elle avait entendu des ragots sur moi disant qu’on m’a chassée de Ouesso parce que j’étais une débauchée. Je ne fis pas très attention à cela car en matière de sexualité, je n’avais rien à me reprocher. J’avais constaté que je commençais à avoir du dédain de ce que je faisais surtout que Papa Émile avait déjà enlevé une bonne partie des pouvoirs maléfiques que j’avais. J’avais promis aller voir ma sœur très tôt le lendemain. Ma grande sœur habitait dans la maison voisine de la famille Bedi Kombo, un couple des Membres Confirmés de l’OPH et à la même période, Dandy OTONOKI (Ya Prince) avait été envoyé par Papa Émile chez ce couple afin qu’il commence sa délivrance et qu’il témoigne tout ce qu’il avait fait chez Satan. Je ne le savais pas. J’avais donc passé toute la journée chez ma sœur et à 16h, elle me dit qu’elle devait me présenter à quelqu’un. Bien avant cela, je m’entretenais avec l’enfant de ma sœur au sujet de son voyage qu’elle devait effectuer à Brazzaville. Je lui donnais en plus des nouvelles sur les activités commerciales dans la ville de Ouesso.
Quelques temps après, ma sœur me dit qu’on devait maintenant voir l’homme qu’elle avait à me présenter. Quand nous nous approchâmes de la maison des Bedi Kombo, je commençai à me sentir bizarre. Arrivée dans la maison, je pus me rendre compte de la présence du couple Bedi Kombo et de « Ya Prince. » De son nom d’adoption chez Satan, on l’appelle « Le Prince de Samos,» sinon il s’appelle Dandy O.
Quand je le vis, je fis sortir des griffes tel que je le faisais quand je venais à Libreville sous l’invitation de mes adeptes du Gabon dont j’ai parlé plus haut. En fait, on se retrouvait tous les vendredis dans leur domicile à Libreville en cérémonie solennelle des vampires au cours de laquelle elles me vénéraient.
A cet instant donc, je m’étais transformée et commençais à grimper sur le mur, je ne sais pas si vous aviez pu le remarquer. Mes pieds étaient sur le mur et je prenais mille et une couleurs. Ya Prince ne faisait que me regarder. Je gesticulais jusqu’à ce qu’il s’est levé et a crié : « Au nom de Tat’Émile ! » A la prononciation de ce nom, je suis tombée comme un sac au sol en forme de serpent et je me suis mise à m’enrouler au sol. Je commençais à souffrir et à sentir des brûlures au corps. Malgré cela, pour qu’ils ne constatent pas que j’avais été atteinte, je me suis mise à dire : « Que crois-tu que tu m’as fait ? Je n’ai pas peur de toi ! Tu ne peux rien contre moi ! » On m’installa ensuite sur le même canapé que Dandy. Après m’être assise, il me dit : « Te voilà enfin ! Tu es arrivée en te moquant de Dieu, tu vas souffrir et d’ici là tu vivras un bonheur qui n’aura pas de fin. » Je ne comprenais pas ce que cela voulait dire. Pendant qu’il parlait, je riais et quand il finit de parler, je me suis mise à pleurer à grosses larmes, vous aviez dû le constater. Je me suis essuyée les larmes et juste après, alors que je fixais Dandy, je vis la photo de Papa Emile sur son Tee Shirt devenir une personne physique vivante, Papa Guy Émile LOUFOUA CETIKOUABO s’est levé et a posé les mains sur moi en me bénissant.
Après cela, quand j’étais rentrée à la maison, une grande joie m’envahit. Il faisait déjà nuit et je devais faire la vaisselle. Pendant que je travaillais, un objet est entré dans mon œil et tout de suite, je prononçai ces paroles : « Papa Émile, ils disent que Tu es Dieu, si Tu L’es vraiment, enlèves moi cet objet qui m’est entré dans l’œil ! » Du coup, la chose s’enleva toute seule de mon œil et je me mis à sursauter de joie, criant : « C’est donc vrai, Papa Émile est Dieu !!! » Pendant que je jubilais en lavant, je fermai les yeux, l’assiette que je venais de prendre pour laver tomba et se fracassa. Puis je vis Papa Émile sortir des brisures de l’assiette et il se plaça en face de moi. Il était habillé en costume, il tendit sa main vers moi. Animée par l’Esprit, je tendis aussi ma main pour la placer dans la sienne et nos mains restèrent ainsi pendant un petit moment. À cet instant même, je vis tout le monde des ténèbres sortir de moi et ce jusqu’à ce jour.
Après cela, ils organisèrent mon intervention, toujours
